Programme des conférences 2017
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- BIOLOGIE GÉNÉRALE mardi (...)
- MYCOLOGIE Lundi 18 décembre
- SCIENCES DE LA TERRE Jeudi
- GROUPE DE ROANNE Lundi 11 (...)
- BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
- Trop tard
- samedi 14 janvier 2017, à (...)
- mardi 31 janvier 2016 à (...)
- 9 février 2016 à 20 heures (...)
- Samedi 11 février à 14 (...)
- Lundi 13 février 2016 à (...)
- 20 février 2016 à MYCOLOGIE
- mardi 21 février, à 19 (...)
- samedi 11 mars 2017, à 14 (...)
- lundi 20 mars 2017 à 20h00 (...)
- Mardi 21 mars, à 19 heures 30
- Mardi 28 mars 2017 à 19 (...)
- Mercredi 12 avril 2017 à (...)
- Mercredi 10 mai 2017 à 19 (...)
- Mardi 26 septembre, à 19 (...)
- samedi 18 Novembre à 14 h (...)
- Mercredi 11 octobre, à 19 (...)
- BIOLOGIE ANIMALE Conférence
- GROUPE DE ROANNE-ORNITHOLOGIE
- GROUPE DE ROANNE Lundi 13 (...)
Les conférences, sauf indications contraires, sont présentées au siège, 33 rue Bossuet, Lyon 6e. Elles sont ouvertes à tous, linnéens ou non.
BIOLOGIE GÉNÉRALE
mardi 19 décembre, à 19 heures 30
L’univers de Linné , conférence par Michel DUPUPET.
Linné a vécu plus de 50 ans à Uppsala où il a enseigné à l’université, fait
beaucoup de découvertes et rédigé de nombreux livres, mémoires et thèses.
MYCOLOGIE Lundi 18 décembre 2017
Le genre Ramaria , par Michèle BURAT
SCIENCES DE LA TERRE
Jeudi 14 décembre
à 19 heures : Vie de la section ; échanges, observation et détermination de minéraux, roches et fossiles ; bibliothèque ;
à 20 heures : Le tunnel du Gothard et ses minéraux.
GROUPE DE ROANNE Lundi 11 décembre à 18 h 30
18 rue de Cadore à Roanne, rez-de-chaussée.
Les orchidées de Savoie, par Colette DESGOUTTE.
BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS Conférence
Samedi 9 décembre, à 14 heures 30
Les tilleuls sauvages des Baronnies provençales (Drôme, Hautes-Alpes), par Luc GARRAUD .
Le tilleul sauvage des Baronnies
De la famille des malvacées (anciennement tiliacées), le tilleul (Tilia) est un genre à large répartition holarctique comptant une trentaine d’espèces en Asie, Amérique du nord. et Europe.
En France il y existe deux espèces indigènes, le tilleul à feuilles cordées (Tilia cordata Scop.) espèce européenne à large répartition sub-continentale et sub-océanique et le tilleul à feuilles plates (Tilia platyphyllos Scop.), espèce européenne à répartition plus restreinte centro-sud européenne. Au sein d’une large aire de répartition les deux espèces se chevauchent, et localement se côtoient, elles sont le plus souvent bien séparées écologiquement. Il existe des hybrides naturels nommés tilleul commun, d’Europe, ou intermédiaire (Tilia x europaea L. ; T. x intermedia DC.).
Dans les Baronnies seul le tilleul à feuilles plates est autochtone, le tilleul à feuilles cordées est uniquement planté comme arbre d’ornement.
Les tilleuls sauvages occupent aujourd’hui en Baronnies l’ubac de montagnes orientées est-ouest entre 900 et 1400 m d’altitude. En compagnie de l’érable à feuilles d’obier, les tillaies-érablaies forment des boisements luxuriants denses ou clairs, diffus en festons de pied de parois, occupant un chaos frais de blocs calcaires stabilisés et colmatés, alimentés régulièrement. La flore compagne est médio-européenne avec des plantes classiques des sous-bois frais de l’Europe moyenne (Hellébore fétide, Primevère acaule, Mercuriale pérenne…), au sein d’un étage supraméditerranéen à la flore oro-méditerranéenne.
Arbre domestique, planté depuis longtemps dans villes et villages, le tilleul baronniard a fait l’objet d’une culture en vergers à partir de 1880 et d’un commerce important jusqu’en 1990. Les populations sauvages de tilleuls sont à la source d’une sélection de plus de 40 « qualités de tilleuls » Cette production centenaire de fleur pour la tisane est à l’origine du fameux « tilleul des Baronnies »
Trop tard
samedi 14 janvier 2017, à 14 heures 30 BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
Agora Tête d’Or,
93 rue Tête d’Or, Lyon 6e (près de l’église ; métro Masséna ou Brotteaux
Christian DUMAS.
Les plantes et le feu
Bernardette BERTHET-GRELIER, Marie-Thérèse MEIN, Paulette NOARS, et Liliane ROUBAUDI
Un aspect de la flore et des paysages de l’Ouest Australien.
Présentation d’un « hotspot » de la flore mondiale : paysages, milieux, quelques familles caractéristiques. Christian Dumas précisera le rôle du feu dans ces milieux particuliers .
A la fin de la séance, comme d’habitude en début d’année, apéritif prévu par les participants.
mardi 31 janvier 2016 à 19h30
BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
33 rue Bossuet, 69006 Lyon, 3 étage
Joël CARIÉ
Quelques propos sur les Brassicaceae de montagne.
9 février 2016 à 20 heures
SCIENCES DE LA TERRE
Le volcanisme dans le système solaire
Samedi 11 février à 14 heures 30
BOTANIQUE et JARDINS ALPINS
Aline ROQUES-RAYNAL et Albert ROGUENANT
Stratégies d’attraction des pollinisateurs par les orchidées.
Les auteurs ont parcouru de nombreuses régions de la planète, à la recherche, entre autres plantes, d’Orchidées et de Broméliacées ; ils ont pu étudier la biologie de plantes peu connues ; ils les ont photographiées et ont publié les résultats de leurs observations dans de nombreux articles et écrit plusieurs livres sur ces sujets. Ils présentent ici quelques stratégies d’attraction des pollinisateurs qui contribuent à la reproduction d’Orchidées remarquables ; ces observations portent essentiellement sur des Orchidées australiennes.
Les moyens déployés pour attirer les pollinisateurs sont multiples et ont souvent recours à la tromperie. Des structures variées, glandes ou organes modifiés, ressemblent étrangement à des étamines. Des formes sont des imitations d’insectes qui non seulement copient des silhouettes mais émettent des odeurs de phéromones femelles qui attirent des mâles pollinisateurs potentiels. Des Orchidées non nectarifères ressemblent aux fleurs nectarifères d’autres familles et profitent de leurs pollinisateurs.
Enfin, certaines Orchidées piègent leurs pollinisateurs, sans les blesser ; dans des pièges passifs, le mouvement est dû à l’insecte. Quelques Orchidées déploient des pièges actifs, dont le mouvement répond à un contact : ils immobilisent temporairement l’insecte responsable du stimulus.
Ces différentes stratégies sont illustrées par de nombreuses photographies et des schémas commentés, tous réalisés in vivo. Certaines photographies montrent l’analyse des mouvements. La complexité des stratégies d’attraction montre l’originalité de la flore australienne.
Thelymitra macrophylla (Orchidée sans nectar, à droite) fleurit dans une touffe d’Orthrosanthus laxus (Iridacée nectarifère).
Lundi 13 février 2016 à 18 heures 30
GROUPE DE ROANNE
18 rue de Cadore à Roanne, au rez-de- chaussée. Toutes les conférences sont gratuites.
Patrick BRUN, membre de la section Sciences de la Terre de la Société linnéenne de Lyon.
L’or en Rhône-Alpes .
20 février 2016 à
MYCOLOGIE
Jean CAVET et Michel MARTIN
Espèces rares ou intéressantes récoltées en 2016.
mardi 21 février, à 19 heures 30
BIOLOGIE GÉNÉRALE
Marie-José TURQUIN
Les sportifs et les autres face aux épisodes infectieux : Pourquoi les premiers sont-
ils plus fragiles ?
samedi 11 mars 2017, à 14 heures 30 BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
Yvonne DECARY et Lucille ALLORGE
Raymond Decary et la flore de Madagascar
Raymond Decary, administrateur des colonies à Madagascar et explorateur-naturaliste passionné, fut, de 1916 à 1944, l’un des plus grands pionniers de la botanique malgache.
Portrait de Raymond Decary. Photographie communiquée par Mme Yvonne Decary
Yvonne Decary esquissera le portrait de son père et présentera les trois livres qu’elle a construits à partir d’extraits du prodigieux « journal » que Raymond Decary a tenu, au quotidien, durant la trentaine d’années qu’il a passées dans la Grande Ile.
Lucile Allorge, spécialiste de la flore malgache, après lecture de l’un des livres de cette trilogie de la vie coloniale de Raymond Decary (« Madagascar, entre la fleur et le képi »), décide de retourner sur les pas de l’explorateur, au Namoroko, dans l’ouest de l’île.
Après un exposé général sur la flore malgache, elle racontera « Namoroko 2012 » et « Namoroko 2016 », deux expéditions internationales qu’elle a dirigées dans cet impressionnant massif calcaire profondément corrodé. Son but : retrouver des plantes découvertes il y a soixante-dix ans, mais encore insuffisamment connues ou décrites et compléter ainsi les récoltes de Raymond Decary.
Vanilla decaryana H. Perrier. Photographie Lucile Allorge.
lundi 20 mars 2017 à 20h00
MYCOLOGIE
Nicolas VANVOOREN
Les Discomycètes intéressants étudiés en 2016.
Présentation de l’article à paraître dans un prochain bulletin de la Société linnéenne de Lyon par
Bernard RIVOIRE et Nicolas VANVOOREN
Premier signalement de la forme albinos de Sarcoscypha coccinea (Pezizales, Ascomycota) dans le département du Rhône.
Mardi 21 mars, à 19 heures 30
BIOLOGIE GÉNÉRALE
Yves TUPINIER
Les chiroptères et la classification, avec écoutes en temps réel.
Mardi 28 mars 2017 à 19 heures 30
BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
GILLOT Philippe
Les tulipes entre nature et culture
Symboles printaniers des parcs et des jardins, les tulipes comptent aussi de nombreuses espèces sauvages souvent méconnues. Une quinzaine d’entre elles sont présentes en France, et certaines ne vivent que dans quelques localités des Alpes. Proches parentes des tulipes de jardins dont elles sont peut-être les ancêtres, elles ont une histoire fascinante qui trouve son origine dans les lointaines steppes d’Asie.
Tulipa platystigma, la tulipe de Guillestre (jardin de la Maison de la Nature des Hautes Alpes, Guillestre)
Mercredi 12 avril 2017 à 19 heures 30 (Attention horaire d’été) BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
ROUBAUDI Liliane et MACQUERON Geneviève
Compte rendu de la session d’herborisation en Algarve au printemps 2016
Présentation des milieux et des taxons rencontrés par Geneviève Macqueron et Liliane Roubaudi
Astragalus lusitanica. Monte San Miguel
Mercredi 10 mai 2017 à 19 heures 30 BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
GOMEZ Bernard, DAVIERO-GOMEZ Véronique , COIFFARD Clément , BARRAL Abel, et DILCHER David L.
Que savons-nous aujourd’hui des premières plantes à fleurs ?
Les plantes à fleurs, encore appelées Angiospermes, sont le groupe ayant la plus grande diversité des plantes terrestres ; certaines estimations récentes font état de plus de 400.000 espèces. Elles sont également diversifiées écologiquement et dominent la très grande majorité des écosystèmes terrestres. Les études paléobotaniques indiquent que les plus anciens fossiles de ces Angiospermes sont connus depuis au moins 140 millions d’années. Mais, le registre fossile est partiel et reconnaître les toutes premières s’avère parfois complexe. En effet, les caractères qui les caractérisent aujourd’hui se sont mis en place sur plusieurs dizaines de millions d’années d’évolution. Nous comprenons mieux que, contrairement à ce qu’avait écrit Charles Darwin, « l’apparition soudaine des plantes à fleurs » ni ne fut soudaine ni n’est resté un « mystère abominable ».
Montsechia vidalii, Première plante à fleurs découverte
Mardi 26 septembre, à 19 heures 30
BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
« La flore de Tenerife et la laurisylve », par Joël CARIÉ.
samedi 18 Novembre à 14 h 30
BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
Geneviève et Jean-Luc MACQUERON
Compte rendu de la session d’herborisation dans le Queyras (Juillet 2016).
Résumé : Présentation des milieux et des taxons observés lors de cette session.
Astragalus austriacus. Sentier des astragales
Mercredi 11 octobre, à 19 heures 30
BOTANIQUE ET JARDINS ALPINS
« La série Laurifoliae dans le genre Passiflora. Révision et compréhension de sa diversité », par Maxime ROME.
A travers son travail de thèse, Maxime Rome vous emmène à la découverte du genre Passiflora au sein de l’Amérique tropicale. Après une présentation de celui-ci, il détaillera les avancées de son projet sur la série Laurifoliae. Ce complexe d’une vingtaine d’espèces, considéré par Killip, un des pères de la taxonomie de ce groupe, comme excessivement difficile, livre enfin une part de ses secrets. Agrémenté de nombreuses illustrations, ce récit permettra de mieux comprendre la diversité de ce groupe ainsi que les perspectives de recherche associées.
BIOLOGIE ANIMALE Conférence
Mardi 17 octobre, à 19 heures 30
« Les vertébrés invasifs », par Michel DUPUPET
Analyse de la relation migration-visite-invasion-colonisation-introduction-réintroduction. Impact éventuel du réchauffement climatique et/ou des humains. Renard, Rat noir, Tourterelle turque, Jaseur boréal...
Une sortie sur le terrain sera organisée au Parc de Miribel-Jonage pour observer les migrateurs tardifs.
GROUPE DE ROANNE-ORNITHOLOGIE Jeudi 9 novembre à 18 h 30
Les chants des oiseaux par Jacques POPINET
GROUPE DE ROANNE Lundi 13 novembre à 18 h 30
18 rue de Cadore à Roanne, rez-de-chaussée.
Les papillons, par M. MIALHE, professeur à Chervé